dans ,

Documentaire Collapse, France4



Documentaire France4 pour lequel j’ai été interviewé, sur le thème de l’effondrement. Réalisation Benjamin Crotty, diffusion le 17 juin 2016. Pour aller plus loin …

source

Qu'en pensez-vous?

28 Commentaires

Laisser un commentaire
  1. Ils me font rire ces survivalisres, en croyants pouvoir survivre 1 ou 2 ans grâce à de la bouffe, de l'eau, un abris et des armes. Ils ont trop regardé la TV.
    Si une grave guerre nucléaire mondiale éclate, déjà, il y a de fortes chances qu'ils soient tous DCD avant de s'abriter, idem pour une catastrophe naturelle type explosion gama…. Mais surtout, si ils survivent à un effondrement, ils ont si peu de chance de pouvoir survivre aux famines, pillages ect… Qu'ils se feront pillés avec violence, certainement tués pour protéger leur petit butin de survie d'égoïste, que je ne donne pas chère de leur survie. Et dans tous les cas, ils ne prolongerons leur triste survie que de quelques mois, avant de mourir à leur tour donc dans tous les cas, la fin, c'est la fin et point. Arrêtez de regardez la TV, ces choses que vous achetez ne sont qu'une stratégie commerciale car le business de la sécurité est une des 5 raison à la base des achats. Cela fait même partis des premières choses que l'on vous apprend en commerce. Vous n'êtes que des moutons de ce business…

  2. Un peu fouilli ce reportage, puis l'egocentré du suisse en auto-promo est énervant.. Et si il y a effondrement la suisse est suffisamment proche de la France pour subir les problèmes des centrales nucléaires donc sa super baraque ne lui servira à rien..

  3. L’éolien industriel = Désastre écologique !!! Réveillez vous bordel !!! L’éolien industriel : une absurdité écologique, économique et sociale.

    En général, on se dit qu'une éolienne, c’est beau, ça va nous sortir du nucléaire : hourra ! Et les anti-éoliens sont perçus comme des chipoteurs, des gens qui pourraient faire le sacrifice de leurs intérêts particuliers pour l’intérêt général. Mais si cet intérêt général n'existait pas ? En France, l’opposition à l’éolien industriel se développe indépendamment de toute influence politique et de tout dogmatisme sur le nucléaire. Sa seule raison d’être: un profond respect des territoires ruraux, des ressources naturelles, de la biodiversité, des paysages, du silence et un engagement à valoriser ces territoires pour les générations futures plutôt qu’à les hypothéquer pour faire de l’argent tout de suite et maintenant. Car c’est uniquement d’argent dont il est question. Grâce aux subventions publiques, l’énergie éolienne rapporte énormément à une poignée de multinationales. Pour installer des éoliennes, on défriche les forêts là où elles gênent, on bétonne des espaces naturels protégés à travers lesquels on aménage des voies d’accès larges comme une autoroute pour acheminer et entretenir les immenses machines, on défonce le sous-sol de grands réservoirs d’eau douce comme le Massif central pour creuser les fondations de mâts toujours plus hauts. Autant pour l’environnement.

    De somptueux paysages sont remplacés par des parcs industriels, les oiseaux s’en vont nicher ailleurs, des sources sont perdues à jamais ; et pour juger du bruit, il faut vivre à proximité d’un parc (les témoignages de riverains sont accablants) : lancinant, incessant, insupportable. Le fait que certains exploitants soient contraints d’arrêter le fonctionnement des machines la nuit pour laisser dormir les gens le prouve.

    Les conséquences sur le tourisme, le commerce et l’artisanat sont dramatiques car personne ne veut vivre près d’un parc éolien, comme le suggère la chute de la valeur immobilière du bâti, dans une fourchette de 20 à 30%, que la mise en service d’un parc ou la simple confirmation d’un projet provoque. Les promoteurs clament le contraire malgré la jurisprudence.

    Les dégâts sont également d’ordre social. C’est même EDF qui le confirme lors d’un séminaire récent : "Des oppositions violentes à l’éolien se sont développées dans certains villages de Seine-et-Marne, allant jusqu’à déstructurer les liens sociaux (rupture de liens familiaux, déstructuration de la vie associative, violences physiques, atteintes aux biens…)".

    Les mêmes causes produisant les mêmes effets, le tissu social se déchire dans tous les villages concernés. Et voilà qu’on parle maintenant d’impact possible sur la santé publique. On est dans la destruction durable. Sortons de l’éolien industriel avant qu’il ne soit trop tard

    Pour comprendre qu’on puisse s’opposer à la production d’énergie éolienne à l’échelle industrielle, il faut commencer par dépasser le cliché qui oppose l’éolien au nucléaire. Non, le mouvement anti-éolien ne roule pas pour le nucléaire. Ce cliché est d’autant plus dépassé que les principaux industriels de l’éolien, regroupés au sein du puissant Syndicat des Énergies Renouvelables qui s’amuse à faire passer les anti-éoliens pour d’affreux réactionnaires, sont aussi des acteurs du nucléaire en France et à l’étranger : GDF Suez, EDF, AREVA, Alstom.

    L’éolien est en vogue dans les milieux urbains qui nous accusent de protéger notre intérêt au détriment de l’intérêt général. Mais quelle est la légitimité technico-économique de ces infrastructures ? Les promoteurs se raccrochent à toutes les causes nationales et planétaires pour faire passer la pilule, maniant la désinformation et jouant sur la peur : 1/ réduction du CO2, 2/ création d’emploi, 3/ alternative au nucléaire.

    1. L'éolien ne réduit pas le CO2

    Même à grande échelle, la contribution de cette énergie à la réduction des gaz à effet de serre resterait tout à fait négligeable (essayons de refroidir l’océan avec des glaçons d’apéritif) ; par ailleurs, elle augmente indirectement les émissions de CO2 car l’intermittence du vent exige, à l’échelle d’un système électrique, que la capacité de production d’énergie éolienne soit doublée d’une capacité de production d’énergie très souple, rapide à mettre en marche et à arrêter, donc par des centrales thermiques brûlant du fuel, du charbon ou du gaz.

    2. L'éolien crée-t-il de l'emploi ?

    On créerait certes des emplois si on construisait des éoliennes en France (ce n’est pas encore le cas) mais le bilan devra prendre en compte la destruction des emplois que l’éolien entraîne en tuant à petit feu l’économie locale, et notamment le tourisme. L’inscription le 28 juin 2011 des Causses et des Cévennes au patrimoine mondial de l’Unesco nous rappelle, si besoin était, que la France est le pays le plus visité au monde et que la beauté de ses paysages y est pour beaucoup.

    3. L'éolien, une alternative au nucléaire ?

    Quant à sortir du nucléaire, il faut penser à autre chose qu’à l’éolien : vu la capacité de chaque machine (environ 2 mégawatts) et l’irrégularité du vent (le rendement annuel d’une machine est à peine de 30%), on aura couvert la France d’éoliennes, on l’aura défigurée, on aura détruit un pan entier de notre économie, pendant que les gains financiers de l’éolien iront renforcer les investissements dans le nucléaire en France ou ailleurs, puisqu’il s’agit de la même filière industrielle et transnationale.

    S’il s’agit d’intérêt général, pourquoi monnayer l’accord des conseils municipaux ? Le fait de dédommager systématiquement les communes, tout en contribuant à leur paupérisation, est un aveu des dégâts et nuisances causés par l’éolien industriel et une preuve de son absurdité technique et économique.

    Si cette industrie est si utile et inoffensive, alors pourquoi ne produit-on pas d’énergie éolienne dans le Lubéron, sur la côte d’Azur, au Cap Ferret, à l’Ile de Ré, à Saint-Barthélemy ou encore sur le Larzac ? Pourquoi ne met-on pas de machines dans les communes urbaines, pourquoi pas au bois de Boulogne et au bois de Vincennes? La réponse, trop évidente, témoigne d’un mépris inouï pour une majeure partie de la population rurale.

    Qu’on remette donc les choses à leur place : l’intérêt général, c’est l’opposition à l’éolien qui le représente, l’intérêt particulier ce sont les promoteurs, soutenus par l’État, qui l’incarnent. Qu’on arrête ce viol de la France rurale.

  4. 51:00
    non, pas 9 personnes sur 10 qui ne seront plus là : si on fait en sorte d'avoir un enfant par couple en moyenne, on peut diviser par 8 les naissances d'ici 2100. Mais nous, on devra disparaître.

  5. Intéressant ce documentaire. Même si il y a beaucoup de foutage de gueule . Les survivalistes voient une solution aux problèmes à travers une idéologie arriérer et possiblement efficace. Les Transhumanistes voient la même chose à travers un eugénisme libéral . . . Le monde d'aujourd'hui est celui de l'incertitude, de l'imprévu, et de l'ignorance volontaire . Bref , c'est l'ère de la grande CONFUSION .

  6. Désolé, le sel dans les boites de conserve, si on en mange trop, provoquera des arrêts cardiaques prématurés. Faut disposer de deux hectares de jardin en permaculture et assimilés pour une famille de trois personnes avec enfant .. Ce qui me console fort c'est que les milliardaires disparaîtront, même s'ils s'achètent des raffineries privées et des milliers de miliciens : ils seront les plus inaptes et infirmes à survivre. Les plus débrouillards seront les décroissants, les petites gens et les pauvres ayant encore accès à des ressources, s'ils les collectivisent. Quant aux miséreux, soit ils mourront plus vite et soit ils émigreront. L'eau va commencer à manquer vers 2025 pour des centaines de millions de gens. C'est donc demain …

  7. très bon reportage qui fait réfléchir il raison il faut être en communauté pour se défendre plutôt que seul beaucoup de personnes ne se doutent de rien un grand danger nous menace

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Rédiger par Pablo Servigne

Bill Gates et ses fausses solu…

Quelle différence entre comprendre et réaliser?