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Gregory Mutombo – Les Cle?s du Bonheur



Conférence de Gregory Mutombo donnée le 6 octobre 2016 à Montpellier (Salle Cobra) sur le thème « Les Clés du Bonheur »
http://gregorymutombo.com/

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25 Commentaires

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  1. mais comment déjà connaitre le bonheur avec la douleur nominale ..je suis d'accord avec tout ce que tu dis, j'ai trouvé la paix …mais le bonheur non….je n'aime pas l’école, j'attends les vacances… 😉

  2. En vous écoutant, je pense à ces photos prises dans des bidonvilles et où les personnes qui y vivent offrent, le temps d'un cliché, leur plus beau sourire.
    "L'autre est un bonus" merci pour cet éclairage Grégory.

  3. Grégory, je suis tellement heureuse d'avoir rencontré tes mots, ta vibration, ton être. Tout me parait  clair et évident et léger quand je t'entends.. Merci, merci !

  4. Voilà une personne claire et précise. Je suis en phase avec tout ce qui est dit. En résumé, l'extérieur est le reflet de l'intérieur.
    Donc si je veux changer l'extérieur, mon environnement, je dois d'abord changer mon intériorité, c'est-à-dire mon état de conscience.

  5. Gégory bonjour, un grand merci pour votre partage. Ce que vous énoncez, sonne comme une vérité universelle. Il est bien rare aujourd’hui d’entendre des paroles aussi unifiantes et justes. Encore merci ! J’ai des interrogations : – vous dites que le bonheur est dénué d’émotions. Cela veut-il dire que les émotions sont des mouvements qui tendent à nous ramener à l’intérieur de nous, et donc vers l’amour ? Les émotions sont-elles de rappel à l’ordre de notre âme qui crie ? Actuellement je me retrouve dans une situation étrange, c’est comme si les émotions n’avaient pas besoin de se manifester pour que le message soit entendu par ma conscience. Et donc malgré la compassion manifeste que j’éprouve, les émotions ne sont plus tellement présentes.
    Autre petite anecdote, je me souviens, il y a deux ou trois ans, j’avais dis à mon père que je trouvais qu’il y avait autant de tristesse chez les gens obèses qui se gavent pour combler telle ou telle chose qu’un enfant qui meurt de faim… et que l’un comme l’autre méritait de l’attention et de l’aide. Je lui parlais de mon constat que notre champ d’action est là où nous sommes et qu’il n’y a pas de meilleure ou de moins bonne action, que les actions humanitaires, on les effectue tous les jours si nous sommes dans la compassion… il m’avait répondu froidement « c’est pas possible, je ne t’ai pas élevé pour que tu penses comme ça, c’est pas possible de penser comme ça enfin tu te rends compte, tu ne peux pas comparer ça ! » je n’enregistre que maintenant à quel point en fait, notre famille, nos échanges de tous les jours sont des thérapies et que j’ai tout le temps (et lui aussi) appuyé là où ça faisait mal… Bon choix d’incarnation pour apprendre !
    Et sinon une petite remarque morpho-énergétique, vous me faites penser à un pharaon, en tout cas un être qui vibre comme une divinité égyptienne incarnée !

  6. Merci infiniment … Tu accompagnes mon travail depuis quelques jours et je ressens une plénitude grandissante dans ce que j'aime réaliser avec cœur. Mon corps me parle, je l'écoute avec attention, présence et bienveillance. Mon cœur me parle et je sais que je peux lui faire entière confiance, il guide mes actes, me fait apprendre au travers d'eux, et c'est bien ainsi 🙂
    Merci vibrant d'Amour inconditionnel et infini en perpétuel mouvement 🙂 <3 ?

  7. j'adore ces belles images comme celui qui coiffe celui qui est dans le miroir (je dois dire que je n'avais jamais pensé à faire une pareille chose, mais, Grégory a résolu le problème !

  8. j'adore la permanence des bouteilles d'eau. Grégory a la faculté de me faire exploser de rire à l'intérieur de moi. Des fois, je pense à tout le travail des humoristes professionnels !

  9. Ben, c'est maintenant, je saute, et je saute et saute et saute. Quand j'étais môme je sautais tout le temps à la corde, un jour j'ai grandi et je n'ai plus sauté et je disais mais pourquoi je ne saute plus sur les bordures, les talus, les bancs, les chaises. Alors j'ai essayé de me remettre à sauter en me forçant et bien sûr cela ne marchait pas vraiment…Maintenant j'ai compris et laissez moi vous dire, j'y vais et c'est tout de suite et le rire s'empare de mon ventre et c'est merveilleux de toute éternité.

  10. Bonjour Gregory , pourriez vous parler du deuil car même si j’accepte ma responsabilité dans tout ce qui m’arrive il n’empêche, il me semble, que la souffrance du manque est toujours là, comme si chimiquement parlant, neurologiquement parlant, il fallait un certain temps pour se rétablir .. le fait de savoir qe je cree cela ne m’empeche pas ni ne minimise pas la souffrance…qu’en pensez vous svp?
    Ait

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