J’ai eu beaucoup de douleur, et de peine en moi lors de l’AVC de ma belle fille (25 ans) et, je n’arrêtais pas de pleurer parce que j’y voyais un destin brisé et je ressentais la grande peine de mon fils qui se retrouvait avec le bébé de 5 mois.
Un soir avant de dormir, j’ai visionné un grand soleil en répétant que ça suffisait de ressentir cette douleur et, le lendemain, j’étais libérée du poids de mes larmes.
C’est aussi à ce moment-là (2019) que j’ai connu BdM, un merveilleux cadeaux de la psychologie évolutionnaire.
Trop mimi