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je vous souhaite à tous un beau week-end de Pâques sans tête !



Sur le groupe anglais No-facebook consacré à l’enseignement de Douglas Harding, j’ai lu hier un article d’une personne, Alan Emmens, que je ne connais pas et qui parle de sa découverte de sa vraie nature, en lien avec le jour de Pâques.

Je l’ai traduit pour vous.

jlr

 

« L’un des principaux obstacles qui m’ont empêché de voir Qui je suis vraiment a été mon éducation religieuse. Jésus de Nazareth a été une figure importante pour moi dès mon plus jeune âge. On m’a enseigné que Jésus seul avait un accès unique au Père, à tel point qu’il a pu proclamer avec assurance : « Moi et le Père sommes un. » (Jean 10:30).

Je voyais que cela valait pour Jésus, mais certainement pas pour moi. Oser une telle affirmation pour moi-même constituerait rien de moins qu’une hérésie. Jésus était donc mon médiateur, mon chemin exclusif vers le Père. Si je voulais voir Dieu, je devais attendre la fin de cette vie.

J’en étais tellement convaincu que je me souviens même avoir jeté mon exemplaire de Vivre sans tête (de Douglas Harding) après l’avoir lu pour la première fois parce que j’étais sûr que Dieu me condamnerait à l’enfer pour avoir cru une telle chose.

Néanmoins, j’ai été « ouvert, grand ouvert » et j’ai rapidement vu que cette vision n’avait absolument rien à voir avec la croyance, et qu’elle était disponible dès maintenant. Je n’avais pas affaire à une croyance mais à des faits, tels qu’ils étaient donnés. Et je suis profondément reconnaissant à Douglas de m’avoir mis au défi d’être ma propre autorité et de tourner la flèche de mon attention à 180°. Merci également à tant d’amis voyants d’avoir rendu ses œuvres disponibles.

Depuis que j’ai découvert que je n’ai effectivement pas de tête, les enseignements de Jésus de Nazareth sont devenus absolument vivants ! J’ai étudié la théologie dans un collège biblique, et nous avions l’habitude de passer des heures et des heures à débattre de la signification d’un passage des Écritures. Récemment, je me souviens avoir ri aux éclats en lisant le passage qui parle de la nécessité d’avoir la foi pour déplacer les montagnes (Matt. 17:20). Quel plaisir de voir maintenant, dans cette immobilité, que les montagnes dansent et se déplacent avec une telle facilité. C’est vraiment une foi d’enfant.

Si cela ne vous dérange pas, je voulais partager un passage de L’immensité intérieure (de Douglas Harding) relatif au Vendredi saint dédié à Jésus de Nazareth que je considère maintenant comme mon frère aîné (He 2, 11)  :

« Cette honnêteté n’est-elle pas la base de l’amour ?

N’es-tu pas en train de donner ta vie pour ton ami, non pas parce que tu es une personne sympathique mais parce que tu es une personne véridique et que tu vois que tu es mort à ce qui se trouve de ce coté du tunnel en papier et que tu es ressuscité en tant que ce qui se trouve de l’autre coté du tunnel en papier ? « . (1)

Dans cet esprit, je vous souhaite à tous un beau week-end de Pâques sans tête !

Allan Emmens

 

(1) Douglas Harding fait référence ici à une de ses expériences célèbres: le tube en papier.

Voici une video sur cette expérience: https://www.youtube.com/watch?v=jihYnq1zrug

 

 

et encore une autre video https://www.youtube.com/watch?v=NAdA0GKcmIQ

 

 

Et voir ici un article sur l’enseignement de Douglas Harding et Pâques et la résurrection

http://eveilphilosophie.canalblog.com/archives/2014/04/20/29701949.html

 





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