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 » Quand je sais que je suis tranquille, je ne suis pas tranquille. Quand je suis…


 » Quand je sais que je suis tranquille, je ne suis pas tranquille. Quand je suis tranquille, je ne le sais pas objectivement. C’est uniquement apre?s que je peux dire : « Cet apre?s-midi, j’ai e?te? tranquille, cet apre?s-midi je ne suis pas rentre? dans des re?actions, cet apre?s-midi, on m’a dit telle chose, on m’a fait telle chose ; avant j’aurais re?agi, j’aurais e?te? triste, de?prime?, mais aujourd’hui, rien ne s’est passe? ». Si pendant l’e?ve?nement, je me dis : « C’est bien, je suis de?tache? », c’est que cela est encore un e?le?ment psychologique. L’ego, la personne essaie toujours de rattraper les choses, de s’approprier les re?ves magnifiques, de s’approprier les termes grandioses.
C’est une habitude qui va se perdre progressivement. Ce qui arrive est ne?cessaire, que ce soit la tristesse ou la joie, que ce soit l’extase ou la difficulte?, et a? un moment donne?, il y a cette e?coute, qui va e?tre de plus en plus la?, ou? je deviens a? l’e?coute de ce qui se pre?sente. L’accent n’est pas mis sur ce qui se pre?sente, sur ce que l’on e?coute, mais sur le ressenti.  »

Eric Baret

www.bhairava.ws




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Rédiger par Eric Baret

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