« Jusqu’au dernier souffle, il y a une attention intérieure, un
sentiment de vigilance tranquille, semblable à un garde du
corps de l’êtreté.
La conscience ne peut rester inchangée en
demeurant sur ce plan de manifestation.
Il y a un sens
d’expansion continue, perçue à partir de Cela qui est sans
changement, à partir d’un espace d’être immuable. »
Mooji
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