ECKHART TOLLE :
Le corps de souffrance peut vous sembler un dangereux monstre que vous ne pouvez supporter de regarder, mais je vous assure que c’est un fantôme minable qui ne fait pas le poids face au pouvoir de votre présence.
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Tellement vrai. Quand on cesse de s’identifier à lui. De ce dire que c’est vraiment nous. On voit qui nous sommes vraiment.
Le défi… c’est de savoir qu’on peut, » qu’on a le droit même » de se couper de l’attachement au corps de souffrance. C’est d’autant plus vrai et plus compliqué pour les personnes qui vivent avec lui depuis leur enfance ?